Monoï, soleil, esquimaux coulants, surfeurs canons ou plus souvent plagistes du dimanche à l'étroit dans leurs charmants moules-fesses... Autant de qualificatifs variés pour décrire ce que chacun d'entre nous attend avec impatience chaque année...: Les vacances.
Cette année, madame la Moule (moi, au cas où tu aurais oublié tes neurones au Cap d'Agde) a pris ses vacances en janvier. Autant te dire, lecteur, que depuis mon retour je trouve le temps LONG. A chaque fois que j'allume ma télé et que je vois la météo des plages, ou que je roule à 20km/h (vitesse de pointe en Août à Biarritz) derrière un break immatriculé 65 avec le but ultime d'arriver chez moi avant 20 heures, je suis comme qui dirait UN PEU carrément sur les nerfs. Rajoute à cela que je suis submergée par les hormones (pas d'endorphine, ô, crois-moi) de grossesse et tu peux aisément imaginer la scène suivante:
"- Oh put* mais qu'est-ce qu'il fait lui? LE CLIGNOTANT!!?? Oh mais c'est pas vrai les gosses sont même pas attachés et ils fument en bagnole :smileyquisetireuneballe: ALLEZ BOUGE CON DE...euh... (silence) CON TOUT COURT. (Bah oui je sais pas forcément où se trouvent le 65 hein)"
Tout en finesse et en poésie.
Bref tu l'auras compris les vacances des autres ne me réussissent pas. J'ai même plutôt tendance à avoir envie de les écourter. Et pourtant, dieu sait que j'habite une région qui vit du tourisme, et dieu sait que je dépends des touristes. Détail que j'oublie quand je suis coincée en 1ère derrière un 65, 69, 92 ou 75 (numéros choisis totalement au hasard crois-moi^^).
Pour faire court, je vis à contresens. Je bosse pendant les vacances de autres, et je pars quand les autres travaillent. Oui, quand tu seras assis derrière ton ordinateur dans le froid de janvier, à zieuter furtivement Facebook dans le dos dans ton boss, je serai sous les cocotiers à siroter un MOJITO Chantaco (cette année va être funky youhouuuuu), l'air détendu (bon ok peut-être pas détendu, nain number one rentrant dans la phase complexe du terrible two, et nain number two aspirant toute forme de zénitude qui pourrait émaner de ma personne).
Bon, je sais que ce premier billet n'a ni queue ni tête. J'avais envie de faire connaissance avec toi en te parlant de VACANCES de ma vie vite fait bien fait... C'est chose faite. Je reviens donc très vite pour te parler de choses un peu plus légère (ou pas).
See U soon ô charmant vacancier (et là tu te dis: "mais, la Moule, elle serait pas un peu faux-cul???")
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